Une matinée est réservée à la visualisation totale des rushes au labo, en présence des prestataires et fabricants qui prennent part à l’Atelier, et des membres concernés de l’équipe technique. C’est le début de la postproduction.
Le montage image et son se fait sur les stations conseillées par les prestataires partenaires, ou sur la station du monteur : sur un tournage de fiction, c’est souvent lui qui décide sur quels machine ou logiciel monter en off line, indépendamment des contraintes de la filière. Il peut avoir alors à acquérir les codecs nécessaires, ou d’autres éléments dus au format d’encodage particulier de la caméra.
La musique est originale, libre de droits ou ses droits sont concédés pour le film.
Les opérations de post-production suivantes (conformation, étalonnage, encodage) s’intègrent dans le calendrier des labos partenaires.
On obtient le Digital Source Master (DSM), le master non compressé préparatoire à toutes les formes d’exploitation (cinéma, télévision, vod).
Selon les outils et les filières essayés dans l’Atelier, on peut procéder à un shoot et au tirage d’une copie 35mm.